Charles Louis Pubereau dit Sainte-Foy, un chanteur lyrique vitryat
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Charles Louis Pubereau dit Sainte-Foy, un chanteur lyrique vitryat
Charles Louis Pubereau dit Sainte-Foy, est né en 1817 à Vitry-le-François
Son père, ancien militaire, avait été nommé par ses compagnons d’armes Sainte-Foy, nom qu’il conserva en revenant à Vitry, où il donnait des leçons de musique et où il tenait le café Sainte-Foy.
Après un essai d'apprentissage chez un ébéniste, Charles Louis devint élève du Conservatoire.
Ce ténor fit ses débuts en 1842 à l'Opéra Comique. Il jouait le plus souvent les comiques et les grotesques ; sa voix sympathique était d’une souplesse et d’une étendue remarquables. Paulus,dit s'en être inspiré pour chanter "J'suis chatouilleux" de Francis Tourte et Victor Robillard.
Mais outre ses talents, il possédait un cœur d’or. Son affection pour sa ville natale lui faisait tout abandonner pour venir presque tous les ans donner une représentation dans le modeste théâtre de Vitry-le-François afin de grossir la recette destinée au Bureau de Bienfaisance. Il est mort à Paris en 1877.
Sources : Voir le site "Les deux Vitry" [Les liens ne sont pas autorisés aux nouveaux inscrits.]
Signalons le livre "Lettre de Charles Louis Pubereaux Sainte-Foy à un ami"
Son père, ancien militaire, avait été nommé par ses compagnons d’armes Sainte-Foy, nom qu’il conserva en revenant à Vitry, où il donnait des leçons de musique et où il tenait le café Sainte-Foy.
Après un essai d'apprentissage chez un ébéniste, Charles Louis devint élève du Conservatoire.
Ce ténor fit ses débuts en 1842 à l'Opéra Comique. Il jouait le plus souvent les comiques et les grotesques ; sa voix sympathique était d’une souplesse et d’une étendue remarquables. Paulus,dit s'en être inspiré pour chanter "J'suis chatouilleux" de Francis Tourte et Victor Robillard.
Mais outre ses talents, il possédait un cœur d’or. Son affection pour sa ville natale lui faisait tout abandonner pour venir presque tous les ans donner une représentation dans le modeste théâtre de Vitry-le-François afin de grossir la recette destinée au Bureau de Bienfaisance. Il est mort à Paris en 1877.
Sources : Voir le site "Les deux Vitry" [Les liens ne sont pas autorisés aux nouveaux inscrits.]
Signalons le livre "Lettre de Charles Louis Pubereaux Sainte-Foy à un ami"
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